Pandore

Pandore est la première femme, plus connue pour sa boite. A la manière d’Aristote, ce personnage est un argument mythologique qui permet une infériorisation de la gente féminine durant les siècles qui suivirent… Elle ouvrit la boite que Zeus lui offrit, malgré l’interdiction, et répandit ainsi tout les maux sur l’humanité, refermant trop vite la boite, elle ne laissa que trop peu d’Espérance s’échapper.

La première grosse connerie des hommes est commise par la première Femme, condamnant ses descendantes. Très aristotélicien comme esprit. Disons que ça rappelle pas mal de choses.

Elle est entre guillemets la fille d’Héphaïstos : il l’a construite à partir d’argile. C’est Athéna qui lui donne la vie, tout cela sous les ordres de Zeus, pour punir les hommes d’avoir reçu comme cadeau le feu. Genre les hommes ont été punis et on reçu la femme. Quel sacré message ancré dans ces écrits et croyances depuis ces milliers d’années…

Une remarque assez importante serait de préciser que ce n’est pas une boite, mais une jarre. Dans la plupart de la littérature sur la mythologie grecque, Pandore a reçu une jarre, voir peut être deux. Mais l’œuvre du temps a marqué cette histoire jusque dans nos expressions les plus courantes. Ouvrir la boite de Pandore est très clair dan sa signification. Mais au final, qu’on ouvre une boite ou une jarre, le principe reste le même. A placer dans une conversation, la jarre revêt un coté désuet, antique, qui fait que l’expression ne résonne plus comme avec la boite. Ouvrir la jarre de Pandore… Rien que le dire, on sent qu’il y a quelque chose qui va pas. Donc la boite est restée.

 

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